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vendredi 27 mai 2011

DE CE NOM DE L'AMOUR

De ce nom de l’amour

Illustrer un roman double (tête-bêche) écrit par deux auteures féminines t’elle était ma contribution.
Le double ou l’opposition m’a grandement dirigé (le masculin, le féminin). Une chemise noire et blanche à rayure. Tout ce qui advient du tissu, des mouvements associés à une chemise, la présence de personnages, etc.



De ce nom de l’amour, Danielle Fournier, Louise Coiteux

Édition Triptyque, Ponctuation, 1985.

 

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Photographie Daniel Beaureard

Photographie Daniel Beaureard

 Photographie Daniel Beaureard

Photographie Daniel Beaureard
 
Photographie Daniel Beaureard
 
Photographie Daniel Beaureard

Photographie Daniel Beaureard

 
 Photographie Daniel Beaureard


Photographie Daniel Beaureard

 
Photographie Daniel Beaureard

 
Photographie Daniel Beaureard

 
Photographie Daniel Beaureard

Louise Coiteux

Une sorte d’écho et de vertige



J’ignore pourquoi Violette reste là, des heures durand à se regarder dans le blanc de l’œil. Elle garde la pose longtemps même si ses paupières tombent engourdies. Entre deux yeux, entre deux eaux, troubles, lovée, là.



Une histoire banale. L’aventure d’une femme qui a rendez-vous avec un homme.

Il s’était pourtant servi d’une carte postale pour lui fixer ce rendez-vous. Le dessin sur la carte représentait un homme dans un nuage et tout à côté une bouche de femme en forme de cœur dont le rouge à lèvres était de couleur lilas foncé.



Un champ à perte de vue. Au loin un avion peint comme un arc-en-ciel. Des gens effectuent un drôle de travail. Des hommes et des femmes s’emploient à replier les ailes de l’avion sur elles-mêmes comme l’on replie délicatement un drap de lit. D’abord en deux, puis en quatre, puis en huit et finalement l’on remarque que le drap ne fait qu’une longue lisière, un passage. On pourrait imaginer là un couloir et, à la limite, quelque chose qui veut naître.



Danielle Fournier

Le détournement de l’initiale



For ever and ever, l’impossible n’a pas de poids. N’est pas un mot. M’exécute le sexe, barrée et recrachée.J'ai envie de naître et de revivre. Avec vous, sans rupture, l’exaltation que vous me faites de l’effet! Cela ne devrait pas nous faire peur. Tous les plaisirs y prennent place, nous avons ouvert nos mains sur le mot amour fondu dans le désert bleu.







  

 


vendredi 6 mai 2011

Beau jusquà la racine

L’arbre fascine par sa grandeur, sa présence et son évolution naturelle. La couleur l’habite et il change continuellement. La vie y circule et sa mort marque un long cycle auquel nous appartenons. L’arbre façonne le paysage. Il s’adapte aux conditions qui s’imposent.
Les prochaines photographies traduisent certaines de mes observations et interprétations de ce que je considère comme une forte présence dans notre vie.

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La rivière et son arbre-Knowlton



Bryce Canyon-Utah





 Cacouna